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ALPAL  RANDO
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8 mars 2022

PIC DE LA COQUILLADE

Départ du hameau de La Borie Nouvelle

L’emplacement où nous nous garons habituellement est juste pour nous 4 voitures.

Nous traversons le Pountil, puis la rue des arcades et départ en forêt de châtaigniers.

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 Chemin facile au début, mais rapidement la pente se fait plus importante, malgré la température nous commençons à nous dépouiller d’une couche. Finalement la pente se fait plus raisonnable et une petite clairière nous donne l’occasion de faire une pause. C’est la journée de la femme, les gâteries sont nombreuses et excellentes, personne ne boude son plaisir !

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 Il faut quand même y monter à ce pic ! nous repartons pour déboucher au pic de La Dentiliade. Compte tenu du temps nous savions par avance que le panorama ne serait pas au rendez-vous.

La descente du pic est délicate pour déboucher sur la grande piste menant au pic de La Coquillade.

Pas la peine aujourd’hui d’y monter ! Mais comme il est encore de bonne heure, nous décidons d’innover pour rejoindre notre point de départ.

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 Nous nous dirigeons vers le col de La Balque où un sentier dans la garrigue doit nous conduire à nouveau sur la piste à proximité de la descente vers le hameau.

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 Après quelques hésitations, nous trouvons le départ de ce sentier. A partir de là on se dirige vers l’inconnu. Le tracé n’offre pas de difficulté, c’est le terrain qui donne à Enzo quelques sueurs froides.

Bravo à Marc (surtout) et à Alain qui ont été très patient avec lui.

-          Enzo : Aie ! ouille ! j’en ai marre ! quand est-ce que l’on arrive !

-          Marc : mais non ! tu vas le faire ! Bientôt ! ça y est on voit la piste !

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 Après encore quelques passages délicats pour lui, nous débouchons sur la piste. Ne reste plus que la descente vers le hameau nous y entrons par la rue du four du four à pain  très joliment restauré en 2012 par un groupe de l’association Concordia (coréens, serbes, russes espagnols et français) qui vont travailler pendant trois semaines à la restauration de cet édifice datant de 1840.

Gilbert qui nous a devancé avec les pressés, est déjà parti.

Belle balade, malgré le temps, à refaire dans d’autres circonstances.

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